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Le golf et moi

Bienvenue chez les masos !

Il était une fois, dans un monde où les balles étaient capricieuses et les clubs semblaient avoir une vie propre, que je décidai de m’aventurer sur les verts luxuriants du golf. Armé de ma détermination et d’un enthousiasme débordant (mais malheureusement sans aucune compétence), j’ai décidé de me lancer dans ce sport noble et mystérieux.

La première fois que j’ai pris un club entre mes mains, je me suis senti aussi gracieux qu’un éléphant dans un magasin de porcelaine. J’ai regardé le terrain, essayant de comprendre pourquoi il était couvert de tant de petits trous. À ce moment-là, je pensais que le but était simplement de les remplir avec des balles, ce qui, en y repensant maintenant, aurait sûrement rendu les professionnels très perplexes.

Des débuts difficiles

J’ai saisi la balle avec tout le sérieux du monde, comme si elle était un joyau fragile. Le premier swing a été un spectacle à voir – j’ai frappé l’air plus souvent qu’autre chose. La balle s’est à peine déplacée et semblait me narguer en restant obstinément immobile. Peut-être qu’elle était en grève ce jour-là.

Quelques progrès

Puis est venu le moment de la précision. J’ai visé la balle avec la détermination d’un archer, j’ai contracté tous les muscles de mon corps et j’ai frappé… mais au lieu d’aller droit devant, la balle a choisi une voie détournée, rebondissant de manière aléatoire comme si elle avait des idées bien à elle sur la direction à suivre.

Les obstacles du terrain semblaient spécialement conçus pour se moquer de moi. Les bunkers étaient comme des puits sans fond, aspirant mes balles avec une avidité insatiable. Les lacs semblaient attirer mes balles comme des aimants, et je me demande encore comment elles pouvaient être si attirées par l’eau.

Et que dire des autres joueurs ! J’admirais leur calme et leur concentration alors que moi, à chaque swing, j’avais l’impression de jouer dans une symphonie chaotique où la balle était la diva capricieuse.

Accroc… définitivement

Pourtant, malgré toutes ces péripéties, il y avait quelque chose de magique sur ce terrain. La brise légère, le chant des oiseaux et le sentiment de frapper une balle parfaitement une fois tous les cent essais étaient des moments de pur bonheur et d’accomplissement.

Mes débuts au golf ? Une comédie d’erreurs, parsemée de moments de pure hilarité et de frustration intense. Mais au fond, chaque swing raté était une leçon, chaque balle perdue était une aventure, et chaque instant passé sur ce terrain était une chance de s’amuser et d’apprendre.

Qui aurait cru que dans ce sport, même mes échecs pouvaient être aussi amusants que mes réussites ?

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